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 sabih
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Pose de carrelage dans une salle de bain

11 Février 2009 , Rédigé par sabih

Pose de carrelage dans une salle de bain

On arrive bientôt à la fin de notre dossier sur le carrelage de salle de bain.

Après le callepinage (qui va encore et toujours nous servir), après l'étanchéité et après la découpe du carrelage, voici un de nos article sur la pose de carrelage dans une salle de bain.

Comme toujours et pour n'importe quels travaux ou bricolages , le travail préparatoire est primordial et évite de nombreux déboires.

NON, non, ce n'est pas une perte de temps ;-)

Carrelage posé à l'aide de croisillons

Le carrelage de la salle de bain est posé.

Il suffira d'ôter les croisillons qui servent à obtenir une pose régulière et ensuite il n'y aura plus qu'à jointer.

carrelage
carrelage et croisillons sur le mur de la salle de bain
La base de la pose: le ciment colle

Il existe des ciments colle pour carrelage en poudre ou en pâte.

A vous de choisir, mais nous trouvons que celui en pâte est plus pratique.

Il s'étale à la taloche sur les murs de la salle de bain.

ciment colle
le ciment colle ressemble à de l'enduit.
Pose de la colle

Une fois que la colle est étalée, passez par-dessus une raclette striée, pour donner du relief au ciment colle.

ciment colle
passage d'une raclette dentelée
Pose des croisillons pour un carrelage parfait

Commencez la pose du carrelage par le bas de votre mur de salle de bain.

Intercalez des croisillons entre chaque carreau.

Les croisillons permettent d'avoir une distance régulière entre les carreaux et ainsi les joints seront esthétiques.

croisillons
espace régulier entre les carreaux grâce aux croisillons

Nous vous proposerons dans un prochain article une pose différente.

Elle décorera vos murs de salle de bain.

Nous utiliserons des frises de galets et des listels.



 
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Parquet: pose

11 Février 2009 , Rédigé par sabih

revêtement de sol et mur
Parquet: pose
 
Le parquet prend des poses
La pose peut être clouée, collée ou flottante. Des dessins peuvent être proposés à partir d’un plan de pose spécifique.
La pose collée : Technique de pose la plus communément pratiquée, elle peut être effectuée sous tous types de supports, avec ou sans réfection des sols. Elle permet la pose de tous les types de parquets : massifs, contrecollés et convient parfaitement aux ouvrages à motifs. Un inconvénient : elle ne tient pas l’humidité, donc ne convient pas aux salles de bains.

La pose flottante : Elle est préconisée pour la pose des parquets contrecollés dont l’épaisseur est comprise entre 10 et 23 mm. Les lames sont soit collées, soit clipées entre elles. Avantage majeur : le parquet flottant peut être poser sur n’importe quel revêtement ancien.

La pose clouée : Le parquet est cloué sur des pièces de bois (lambourdes) rectangulaires relativement volumineuses qui sont scellées au sol tous les 60 cm, ce qui apporte au parquet résistance et pérennité. Notez que ce type de pose surélève le niveau du sol d’une cinquantaine de millimètres et s’inscrit plutôt dans une démarche de rénovation. A noter que cette pose est associée au parquet en bois massif qui est de moins en moins utilisé. Défaut de la pose clouée : le bruit qu’elle ne manque pas de générer pendant la durée des travaux.

Esthétique : les goûts et les couleurs, ca ne se discute pas. Sachez quand même que les motifs choisis ont un impact sur la vision que l’on a de l’espace. Ainsi, les lames posées dans la largeur ont pour effet d’élargir une pièce. Le décorateur pourra aussi jouer sur la longueur et la largeur des lames et sur les qualités de telle ou telle essence. C’est à la demande : il est possible de réaliser une pose en diagonales, avec une frise, de réaliser un dessin sur le sol. Notez que ces plans de travail assortis de motifs et autres frises(calepinage) conviennent mieux aux surfaces importantes. Dans une petite pièce, votre motif a de grandes chances d’être caché par les meubles et les tapis. Sachez enfin que la réalisation d’un motif entraînera un surcoût de 20 à 30%.

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La véranda idéale

8 Février 2009 , Rédigé par sabih

 La véranda idéale

Pour ne pas dénoter, votre véranda doit épouser l'architecture et le style de votre maison. Vous éviterez ainsi tout déséquilibre. À partir de là , tout dépend de votre imagination ! En effet, aujourd'hui, une véranda peut parfaitement suivre les contours et les angles d'une habitation, être ronde, ovale, carrée...

Pensez également au sol ! Obligatoirement dur, il peut s'agir du sol d'une terrasse existante (en parfait état) ou une dalle de béton coulée pour cette occasion. Pour un plus grand confort, préférez des fondations avec une isolation thermique et une protection anti-humidité.

L'emplacement de votre véranda est aussi un élément important. Car, avec sa grande surface vitrée, elle capte la chaleur l'été et la fraîcheur l'hiver ! Voici quelques éléments pour vous aider à faire le bon choix :

  • Une situation sud-est vous permettra de profiter du soleil matinal et d'une atmosphère tempérée l'après-midi en été.
  • Une situation plein nord apportera une isolation à votre maison, mais vous n'aurez aucun ensoleillement.
  • Une situation plein sud ne sera envisageable que si votre véranda dispose d'une très bonne isolation.
Une bonne isolation :

Dans tous les cas, l'isolation est primordiale ! Évitez le vitrage simple qui laissera passer les rayons du soleil. Le double vitrage, s'il est plus performant, est aussi plus lourd ! En conséquence, votre véranda devra avoir de nombreux profils porteurs pour soutenir le poids du double vitrage. Conséquences : une esthétique qui peut en souffrir et un prix qui grimpe !

Autre solution (surtout si votre véranda est orientée plein sud, ou si vous habitez dans une région chaude), la pose d'une toiture traitée contre les rayonnements du soleil. Inconvénient : la lumière se diffuse moins bien dans les autres pièces.

Restent les stores ! Installés à l'extérieur de la véranda, ils peuvent être en toile (étudié spécialement pour lutter contre le rayonnement du soleil) ou en PVC (volets roulants). Ce type de store ne s'adapte que sur les faces carrées ou rectangulaires de la véranda. Pour les autres, pensez aux stores d'intérieurs munis d'une face réfléchissante qui renvoie le rayonnement solaire sans l'absorber.

Une bonne ventilation :

Pour éviter les phénomènes de condensation et profiter d'un air sain, votre véranda doit disposer d'un système d'aération véritablement efficace : grilles d'aération, installation de portes, de fenêtres... (pour procéder à une ventilation mécanique), ou encore mise en place d'un extracteur voire même d'un déshumidificateur d'air dans le cas où votre véranda abrite une salle de bains.

Une bonne température :

Ici, tout dépend de l'usage que vous souhaitez faire de votre véranda. Si vous concevez votre véranda comme un salon, un système de chauffage indépendant sera nécessaire. Pensez alors à intégrer dans vos plans les tuyaux, les radiateurs... Si au contraire, vous considérez votre véranda comme un espace supplémentaire, une ouverture sur votre jardin, vous pouvez vous passer de chauffage. Vous en profiterez alors l'hiver, dès qu'il y aura du soleil et éviterez de vous y installer, en été, les jours de forte chaleur et les matins et soirs d'hiver.

Bien entendu, tous ces conseils sont à prendre en compte en fonction de la région dans laquelle vous habitez. Une véranda située à Nice, n'aura pas les mêmes caractéristiques, ni les mêmes besoins qu'une véranda construite en Ile-de-France.
Les règles à respecter

Comme toute construction, l'élaboration d'une véranda obéit à certaines règles ! En général, en dessous de 20 m², vous devez déposer une déclaration de travaux en mairie. Au-dessus de 20 m², le permis de construire est obligatoire ! Pour être totalement sûr et éviter les mauvaises surprises, renseignez-vous au préalable, auprès de votre commune (Mairie,...).

Sachez également que de nombreuses entreprises spécialisées dans la construction de vérandas, peuvent prendre à leur compte ces formalités ; n'hésitez pas à leur demander.

Dans tous les cas, la construction de votre véranda doit être signalée à votre compagnie d'assurance.

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Les différents styles de vérandas

8 Février 2009 , Rédigé par sabih

Les différents styles de vérandas


Aujourd'hui, on peut les classer en cinq catégories : les vérandas en PVC, celles en aluminium, celles en bois, les mixtes (c'est-à-dire en bois et en aluminium) et celles en fer forgé. Lorsque l'on parle de ces matériaux pour les vérandas, il s'agit bien sûr de leurs profilés, c'est-à-dire des pièces qui constituent les châssis des vérandas, le reste étant en verre.

Les vérandas en PVC :

Particulièrement bon marché, très facile d'entretien, une véranda en PVC permet également, grâce à ses vitrages isolants, de réaliser de sérieuses économies d'énergie. Autre intérêt, l'utilisation du PVC permet une grande diversité de structures et de nombreux styles d'ouverture : portes, portes coulissantes, fenêtres, portes-fenêtres... Quelques inconvénients : le manque de coloris (le PVC est une matière très difficile à peindre) et une limitation des dimensions de la véranda (le PVC supporte facilement les petites structures mais n'est pas assez résistant pour les grandes vérandas).

Les vérandas en aluminium :

L'aluminium est le matériau le plus utilisé pour la construction de vérandas. Principaux atouts : il ne nécessite pas d'entretien particulier et bénéficie d'une bonne résistance mécanique. Par contre, à la différence du fer forgé et du bois, il n'est pas toujours esthétique et ne se marie pas avec tous les environnements. Sachez aussi que l'aluminium est un conducteur thermique ! Il transmettra le froid en hiver et le chaud en été. Voilà pourquoi, aujourd'hui, de nombreuses entreprises proposent l'utilisation de profilés à rupture de pont thermique pour garantir une bonne isolation. Enfin, leur prix est de 20 à 40 % plus cher que des vérandas en PVC.

Les vérandas en bois :

Malgré de nombreux atouts (esthétisme, isolation thermique et acoustique), elles représentent, de par leur coût élevé, une faible part du marché. Pourtant, la véranda en bois donne une vraie personnalité au projet et s'adapte parfaitement à toutes les constructions traditionnelles. Du fait de leur solidité et de leur bonne résistance, elles sont particulièrement adaptées lorsqu'elles doivent supporter une partie du toit de votre habitation (on parle alors du profil porteur d'une véranda). Reste à choisir la bonne essence de bois. Évitez les bois ayant tendance à se fendre, comme le sapin ou le chêne, car une véranda subit de nombreux chocs thermiques. La structure risquerait alors des dommages irréparables !

 

Les bois recommandés par les professionnels sont les bois exotiques (comme le teck, le bangkiraï...), imputrescibles et durs, mais relativement chers, les bois traités par autoclave, plus économiques et le red cedar. Ce dernier, importé du Canada, est léger, ne se dilate pas (ou presque pas), est un très bon isolant et supporte parfaitement les lasures. Il reste l'essence de prédilection pour la construction des vérandas en bois.
Afin de les protéger du temps et des insectes (comme les termites par exemple), certaines vérandas en bois devront recevoir une ou plusieurs couches de lasure, tous les 3 ans environ.

Les vérandas mixtes :

Elles peuvent offrir un bon compromis pour profiter, à moindre coût de l'esthétisme du bois.

Les vérandas en fer forgé :

C'est le style le plus ancien, celui que l'on retrouve dans les constructions art déco par exemple. Très esthétique et hautement résistant, le fer forgé habille aussi bien les grands que les petits volumes.
Aujourd'hui, grâce à de nombreuses innovations, il peut être peint (à la peinture inaltérable) de n'importe quelle couleur ou presque. Attention toutefois, qui dit fer forgé, dit véranda haut de gamme, sur-mesure... et donc relativement chère !
suivez la gualerie photos

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L'eau de votre piscine et les accessoires

8 Février 2009 , Rédigé par sabih

L'eau de votre piscine et les accessoires

Voilà, vous savez tout ou presque sur les piscines ! Restent quelques détails pour vous aider lors de vos choix définitifs !

Une eau toujours propre :

L'eau du bassin est soumise à de nombreuses salissures : micro-organismes, produits solaires, boue, poussières, feuilles... Pour maintenir une eau toujours propre, le traitement de l'eau d'une piscine se fait par des procédés physiques (filtres et pompes) et chimiques (traitements à l'aide de désinfectants...). Le chlore (en pastilles, granulés ou galets) est peut-être le plus connu, mais il reste dangereux à manipuler. Il combat les bactéries et supprime les impuretés organiques. Un autre produit proche du chlore et qui permet la stérilisation de l'eau est le brome. Il présente la particularité de résister aux pH (niveau d'acidité de l'eau) et aux températures élevés. Toutefois, désinfecter sa piscine sans utiliser ni chlore, ni brome est possible en utilisant par exemple des produits pharmaceutiques ou par électrolyse au sel. Ce dernier système donne à l'eau une qualité optimale.

Remplir sa piscine :

Les bassins vides trop longtemps risquent de bouger, voire de se fissurer. Le plus souvent, les piscines restent donc pleines.

Elles fonctionnent alors toute l'année ou sont équipées de couvertures. Celles-ci protègent l'eau des souillures, maintiennent la température et évitent l'évaporation. Car remplir une piscine demande énormément d'eau (plusieurs dizaines de milliers de litres !). Si vous souhaitez avoir une idée précise du nombre de litres que contient votre piscine, il vous suffit de calculer son volume : hauteur x longueur x largeur (en m³. Attention, 1 m³ = 1 000 l)

Les accessoires :

Aux côtés des accessoires indispensables : clôtures, alarmes, couvertures, épuisettes... il existe aujourd'hui un grand nombre d'accessoires qui peuvent vous simplifier la vie et rendre agréables vos baignades. Il existe par exemple des robots nettoyeurs, véritables aspirateurs automatiques, et des systèmes de nage à contre-courant pour se faire masser dans la piscine. Bien sûr, il en existe d'autres. Renseignez-vous auprès de votre installateur...

4 - Les règles de sécurité

Pour lutter contre les risques de noyade par accident, une loi a été votée pour sécuriser les abords des piscines enterrées ou semi-enterrées (à usage individuel ou collectif). Aujourd'hui, les propriétaires (futurs ou actuels) doivent équiper leur piscine d'un dispositif de sécurité conforme aux normes françaises ou européennes.

Pour en savoir plus sur les normes :
F.A.Q. Piscines privées (AFNOR.fr)

On distingue 3 systèmes principaux pour sécuriser votre piscine (ces systèmes peuvent être complémentaires) :

  • Les barrières : situées tout autour du bassin et munies d'un ou plusieurs portillons, elles empêchent les enfants en bas âge d'y accéder seuls.
  • Les couvertures : résistantes, elles se déroulent au-dessus du bassin et doivent empêcher l'immersion involontaire d'enfants de moins de 5 ans.
  • Les alarmes : elles détectent toute intrusion, chute, ou immersion et sont souvent utilisées en complément d'une barrière ou d'une couverture.

Quelques règles simples et de bon sens pour sauver des vies :

  • Ne laissez jamais un enfant sans surveillance dans la piscine.
  • Ne laissez pas flotter de jouets à la surface de la piscine. Un enfant pourrait être tenté de se pencher pour les attraper.
  • Apprenez aux enfants à ne pas courir au bord du bassin. Celui-ci est glissant après les baignades et ils pourraient tomber.
  • Rangez hors de portée des enfants les produits chimiques nécessaires à l'entretien de la piscine (chlore, acides...)
  • Gardez aux abords de la piscine : un téléphone pour prévenir les secours en cas d'accident, une fiche plastifiée reprenant « les gestes qui sauvent » (bouche à bouche, massages cardiaques...).
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La bonne piscine au bon endroit

8 Février 2009 , Rédigé par sabih

La bonne piscine au bon endroit


Maintenant que vous avez une idée des styles de piscines qui existent, il vous faut penser à trouver l'endroit adéquat pour installer la vôtre.

Tout d'abord, pensez aux travaux de terrassement. Qu'elle soit en béton ou en matériaux composites, une piscine a besoin de fondations comme une maison. Pelleteuse et camions auront donc besoin d'accéder « facilement » au chantier. C'est d'autant plus vrai si vous choisissez une piscine monobloc en matériaux composites qui devra être installée par une grue.

Par ailleurs, qui dit piscine, dit local technique ! Vous devez prévoir dans vos plans, près du bassin, la construction d'un emplacement destiné à recevoir la « machinerie » de votre piscine (pompes, systèmes de filtration, tableau électrique...).

Le terrain idéal doit aussi être ensoleillé, à l'abri du vent (et des regards indiscrets des voisins) et éloigné des arbres pour éviter les feuilles dans l'eau.

Enfin, vous devez réfléchir à l'aménagement des contours de votre piscine (plages en pierres, en bois, systèmes de sécurité...), ainsi qu'au système d'entretien (filtres, robot, filets de protection, bâches...).

 

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Les différents types de piscines

8 Février 2009 , Rédigé par sabih

Les différents types de piscines


Aujourd'hui, on distingue 3 grandes catégories de piscines : les piscines en béton, les piscines en matériaux composites et les piscines hors-sol.

Les piscines en béton

Valeurs sûres, les piscines traditionnelles en béton sont encore les plus répandues. Des blocs et une dalle de béton forment la structure principale que l'on recouvre ensuite d'un liner (matière plastique très résistante aux UV, produits chimiques...) ou d'un carrelage, pour assurer l'étanchéité du bassin. Outre sa résistance, l'un des autres atouts d'une piscine en béton, c'est que l'on peut lui donner la profondeur et la forme que l'on souhaite.

Les piscines en matériaux composites

Ces piscines d'un nouveau genre séduisent de plus en plus en raison de leur faible coût et de leur rapidité d'installation. Elles sont constituées d'un bloc monocoque, le plus souvent en polyester et fibre de verre, prédéfini et moulé en usine.

Les piscines hors-sol

Elles possèdent des avantages certains comme leur prix et la possibilité d'en disposer rapidement. Elles ne nécessitent pas de travaux particuliers. Posées à même le sol, qu'elles soient en bois, en plastique ou en acier, ces piscines sont des lieux accueillants pour se détendre et se rafraîchir. Un inconvénient éventuel : leurs dimensions souvent petites.

 

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Les différents styles de parquet

8 Février 2009 , Rédigé par sabih

 Les différents styles de parquet

Un parquet est un revêtement de sol en bois (ou ) base de bois) dont la couche d'usure (la face visible, celle sur laquelle on marche) a au moins 2,5 mm d'épaisseur. Une définition stricte qui exclut de cette appellation les sols stratifiés.

On distinguera deux types de parquets : les parquets massifs et les parquets contrecollés.

Les parquets massifs : ce sont les parquets traditionnels, ceux que l'on retrouve dans les plus anciennes constructions. D'une très longue durée de vie (plus de 100 ans), leurs lames ont une épaisseur d'au moins 22 mm, une largeur comprise entre 50 et 140 mm et une longueur de 250 à 1300 mm. Ils sont composés d'une seule et même essence de bois. Avant la pose, les parquets doivent être stockés dans la pièce qui va les accueillir. Ainsi, le parquet va « s'adapter » à son futur environnement en fonction de la chaleur et de l'humidité présente dans la pièce. Une étape nécessaire pour éviter toute mauvaise surprise une fois le parquet posé. Pour ce qui est de la pose proprement dite, les parquets massifs sont soit cloués sur des poutrelles appelées lambourdes, soit collés directement sur une chape ou sur une sous-couche. Posés à l'état brut, les parquets massifs doivent ensuite être traités afin d'éviter toute dégradation. Ils peuvent être huilés, cirés ou vitrifiés.

Les parquets contrecollés : nés en Scandinavie au début des années 40, ces parquets se composent de 3 couches différentes, assemblées par collage : la première, celle sur laquelle on marche est appelée couche d'usure ou parement (en bois noble et d'une épaisseur de 2,5 à 10 mm), la deuxième, l'âme, et la troisième, le contreparement (ces deux dernières sont le plus souvent fabriquées avec des dérivés de bois, du contreplaqué et/ou des particules). Disponibles dans une grande variété d'essences, ils reprennent la plupart des motifs que l'on retrouve pour les parquets massifs. Côté pose, les parquets contrecollés peuvent être cloués, collés ou flottants. Dans ce dernier cas, les lames, qui possèdent de petites languettes, sont emboîtées (ou collées) entre elles et ne reposent pas sur un support spécifique. L'un des intérêts de ce système est que la pose est rendue possible sur un sol ancien (à condition qu'il n'y ait pas une trop grande différence de niveau).
Si sa durée de vie est plus courte que celle d'un parquet massif bien entretenu (entre 50 et 70 ans), le parquet contrecollé est livré « fini », c'est-à-dire déjà traité !

Que vous choisissiez un parquet massif ou un parquet contrecollé, réfléchissez bien à l'utilisation que vous voulez en faire ! En fonction, vous choisirez une essence de bois et une épaisseur plus ou moins importante, afin que votre parquet résiste aux « mauvais traitements » que vous allez lui infliger : passages répétés, humidité...

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Les différents styles de cuisine

7 Février 2009 , Rédigé par sabih

Les différents styles de cuisine

Si la tendance actuelle est aux espaces ouverts, le décor de sa cuisine reste une affaire de goût ! Qu'on les appelle « modernes » ou « design», « rustiques » ou « campagnardes », « contemporaines » ou « actuelles », tous les styles de cuisine existent et se déclinent du sol au plafond.

Les cuisines « modernes » ou « design » :

Leur esthétisme et leur style très travaillé en font des cuisines haut de gamme. Lignes épurées, matériaux nobles, monochromes, volontairement dépouillées, elles séduisent de plus en plus. Attention toutefois à leur prix élevé.

Les cuisines « rustiques » ou « campagnardes » :

Vous êtes adepte du bois et d'une ambiance chaleureuse ? Ces cuisines sont pour vous ! À travers leurs essences de bois, leurs patines, leurs meubles vitrés et leur carrelage, s'exhale un doux parfum de terroir. Peu importe son inspiration : provençale, montagnarde, ou campagnarde, le style rustique reste, au fil du temps, indémodable !

Les cuisines « contemporaines » ou « actuelles » :

En phase avec l'air du temps, ces cuisines combinent originalité, fonctionnalité et innovations techniques. Disponibles dans de nombreuses couleurs, avec des formes originales et douces, elles font la part belle aux éléments mobiles et s'adaptent à votre style de vie.

Vous avez trouvé le style de cuisine qui vous convient ? Il vous faut maintenant choisir entre les cuisines « sur-mesure » présentées par les enseignes, celles proposées par les artisans et les cuisines en kit à installer par vos soins.

Les cuisines « sur-mesure » des enseignes :

La grande force des enseignes spécialisées est de vous proposer un grand choix de cuisines (styles, meubles, équipements...) à des prix compétitifs. Attention toutefois à bénéficier d'une bonne écoute de la part du vendeur ! En effet, c'est à lui que vous allez exprimer vos souhaits, vos attentes et vos besoins.

Les cuisines « sur-mesure » d'un artisan :

À la différence d'une enseigne, le cuisiniste est un artisan capable de mener à bien votre projet de A à Z, c'est-à-dire, de la conception jusqu'à la mise en service.

C'est lui qui gère le chantier et pourra intervenir aussi pour des travaux d'électricité (rajout de prises, mise aux normes...), de plomberie (déplacer un point d'eau...) ou encore pour la pose du carrelage. Véritable spécialiste, il sera à même de trouver la solution idéale pour que votre cuisine vous ressemble. Si ses tarifs sont plus élevés que ceux pratiqués par une enseigne, par son écoute, sa capacité d'adaptation lors des travaux et l'étendue de ses services, le cuisiniste vous aménagera une cuisine personnalisée.

 

Les cuisines en kit à installer par vos soins :

On les trouve principalement dans les grands magasins spécialisés. Si leur choix est plus limité en ce qui concerne leurs dimensions, de nombreux modèles sont toutefois disponibles. Mais attention, les cuisines en kit sont réservées aux bricoleurs chevronnés ! C'est une chose de monter une étagère, c'en est une autre d'assembler et de poser - en toute sécurité - tous les éléments d'une cuisine. Leur avantage principal reste donc leur prix.

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La cuisine idéale

7 Février 2009 , Rédigé par sabih

La cuisine idéale

Quels que soient le style et la taille de votre cuisine, pour son installation, il y a des principes à respecter.

Une règle d'or :

En matière d'aménagement de cuisine, il convient de respecter la règle dite du triangle d'activité : pour vous faciliter les choses, votre évier, votre four et votre réfrigérateur doivent être le plus rapprochés possibles pour réduire vos déplacements !

L'implantation
L'installation en I :

Idéale pour les pièces longues et étroites, la cuisine en I se compose d'une rangée d'éléments disposée de manière à laisser assez de place pour une table.

L'installation en U :

Ce type d'aménagement est souvent pratiqué lorsque l'on dispose d'une grande pièce. Les deux parties principales de la cuisine sont alors reliées par des éléments (placards et plan de travail).

L'installation en L :

C'est la forme la plus répandue. La cuisine est composée de 2 parties à angle droit et un plan de travail (servant de coin repas) est placé entre les 2.

L'installation en parallèle (ou double I) :

Dans ce dernier cas, les appareils électroménagers sont regroupés et font face aux éléments de rangement.

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